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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

lundi 24 mars 2014

Reconnaissance en maladie professionnelle de troubles psychiques : une affaire de sous

LE MONDE | Par 
En 2012, quelque 225 demandes de reconnaissance en maladie professionnelle (MP) de troubles psychosociaux ont été reçues (+15 %), dont 45 % ont fait l'objet d'un accord, selon l'assurance-maladie. Des chiffres faibles, qui s'expliquent en partie par la complexité du dispositif, faute de tableaux de maladies professionnelles psychiques, comme il en existe au Danemark.
Les syndicats et associations d'aide aux victimes demandent, depuis plusieurs années, la création de tels tableaux. Une demande relayée en janvier par une pétition lancée par le cabinet d'expertise Technologia.
Mais rien ne bouge. Dans son rapport de décembre 2012, le Conseil d'orientation sur les conditions de travail (COCT) – qui réunit les partenaires sociaux et l'administration et rend des avis à l'administration du travail, la décision revenant à celle-ci – recense pourtant trois troubles psychiques graves susceptibles d'être liés au travail : dépression, anxiété généralisée, état de stress post-traumatique.

Faire reconnaître le burn-out, un parcours du combattant

LE MONDE | Par 
Un immeuble de bureaux à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine).
Elle a préparé son intervention durant plusieurs semaines. Et le jour J approche : mercredi 26 mars, Ilma Choffel de Witte sera auditionnée par le groupe de réflexion sur « Les risques psychosociaux et le burn-out » (épuisement professionnel), mis en place sous son impulsion, au ministère du travail. Mission de ce groupe, constitué jusqu'en mai : « Clarifier ce que recouvre le burn-out dans l'objectif de donner des recommandations pour mieux prévenir ce syndrome. »
Mme Choffel a beaucoup à dire. Son mari, Nicolas, que sa hiérarchie a continué à solliciter intensément durant un arrêt-maladie pour burn-out, s'est suicidé le 25 février 2013, à 51 ans (Le Monde du 1er avril 2013). Un acte reconnu comme accident du travail fin décembre 2013 par la Caisse primaire d'assurance-maladie (CPAM).
Peu après le décès de son mari, Mme Choffel avait décidé de faire de la prévention du burn-out dans les entreprises et de sa reconnaissance en maladie professionnelle le combat de sa vie. « Si Nicolas avait vécu aux Pays-Bas, mon pays natal, où la loi protège les salariés en risque de burn-out, il serait encore en vie », assure Mme Choffel, qui a insisté auprès du ministère pour que le groupe auditionne, entre autres, le responsable santé et sécurité d'une firme hollandaise qu'elle juge exemplaire, AkzoNobel.
Toutefois, la question de la reconnaissance en maladie professionnelle (MP) du burn-out, ni d'aucune autre pathologie psychique liée au travail, ne sera abordée par ce groupe, précise la lettre de mission. Ce sujet relève d'autres instances, qui bloquent sur cette reconnaissance. Aucune de ces maladies psychiques ne dispose donc d'un tableau de MP permettant d'imputer automatiquement au travail la maladie du salarié s'il réunit certains critères.

Logement de 1,56 m2 : la propriétaire et l'agence condamnées

AFP

La justice a condamné lundi la propriétaire d’un minuscule appartement de 1,56 m2 et l’agence immobilière qui le gérait à payer 10 000 euros en réparation du «préjudice de jouissance» au locataire, qui a vécu quinze ans dans ce «placard à balais».

De toutes nos forces

Nils Tavernier, l’esprit de famille

Les deux acteurs, Jacques Gamblin et Fabien ont participé à l’Ironman au milieu de 2 700 participants. Photo  © Guy Ferrandis
Les deux acteurs, Jacques Gamblin et Fabien ont participé à l’Ironman au milieu de 2 700 participants. Photo © Guy Ferrandis

Fils de Bertrand, Nils, cinéaste lui-même, en bon Tavernier qu’il est, passe du documentaire, qui est son terrain privilégié, à la fiction avec De toutes nos forces.

Avec De toutes nos forces , un film qui voit une famille se retrouver autour d’un défi commun : courir l’Ironman, une des épreuves sportives les plus exigeantes qui soient, surtout lorsqu’elle concerne, comme ici, un père pas spécialement préparé et un fils handicapé dans son fauteuil roulant, Nils Taverneir nous dévoile un scénario plein de vitalité et d’envie de vivre. pour un sujet délicat au ton juste. Et qui donne le moral…
Qu’est-ce qui vous a poussé, vous qui avez essentiellement tourné des documentaires, à choisir ici la voie de la fiction ?
« Franchement, je ne sais pas. Mais ça a été pour moi comme une évidence : cette histoire, je voulais la raconter sous cette forme-là, et pas une autre. »
Qu’est-ce qui vous a donné précisément l’idée, et l’envie, de raconter cette histoire ?
« Je sortais d’un documentaire de deux ans en neurologie à Necker, en pédiatrie. J’étais tombé sur des familles ayant à vivre cette situation d’un enfant handicapé. Leurs histoires me touchaient beaucoup, que la famille ait éclaté ou, qu’au contraire, elle ait trouvé la force pour rebondir. Cela a croisé l’histoire que j’avais lue d’un gamin handicapé, aux États-Unis, qui avait réussi à faire un Ironman. J’ai donc croisé mon envie et cette histoire, et construis une famille telle que je la voulais, avec l’idée qu’elle soit comme repropulsée par l’enfant et par son énergie. »


XXIIèmes Journées ADH 20&21 mars 2014 « La fin du management ? »

L’Association des Directeurs d’Hôpital vous convie à ses XXIIes Journées nationales au Parc Floral les 20 et 21 mars 2014, sur le thème :
« La fin du management ? »
Beaucoup d’entre vous connaissent et apprécient ce rendez-vous, qui fait la synthèse de l’actualité hospitalière, des préoccupations spécifiques des Directeurs d’Hôpital, et constitue un moment privilégié de retrouvailles entre collègues et camarades de promotion ENSP/EHESP.
On pourrait croire que, comme les Mayas en 2012, l’ADH joue les déclinologues et s’essaye à la prédiction en 2014. Il n’en est rien ; avec la « fin du management », on joue sur le mot, on joue sur les sens, autour de trois séquences thématiques, afin de susciter des pratiques hospitalières innovantes et bien-traitantes.
Entre une gouvernance hospitalière remodelée à l’envi, des autorités de « tutelle » parfois invasives, une pression financière unilatérale, des climats sociaux chahutés, le responsable hospitalier peut avoir le sentiment de se retrouver dans une impasse managériale. Les directeurs d’Hôpital, par leur solide formation, leur pratique du terrain, leur savoir-être et les valeurs qui les animent, ne sont pourtant pas démunis.

Rencontre avec Florent Babillote, écrivain schizophrène

ALPES 
  • Par Yoann Etienne
  • Publié le 21/03/2014 |



Témoignage rare, celui d'un schizophrène qui raconte sa maladie de l'intérieur. Dans le cadre de lasemaine de la santé mentale, Florent Babillote, aujourd'hui aide-soignant, est venu à Annecy présenter son livre autobiographique. Un message d'espoir pour les malades et leurs familles.
© France 3 Alpes
Reportage. Florent Babillote souffre de schizophrénie. C'est à travers l’écriture qu'il a choisi de "soigner ses maux dans un déluge de mots". La schizophrénie, une prison mentale qu'il raconte dans "obscure clarté", un récit autobiographique.











Soutien à la psychiatrie de l'hôpital de Poissy !

Le personnel tire la sonnette d'alarme depuis des années...

Aujourd'hui la dégradation dans les services de psychiatrie est accablante
Insidieusement la psychiatrie subit de plein fouet l'impact de la politique de rentabilité financière imposée par les responsables politiques et les tutelles de l'hôpital public (Notamment l'Agence Régionale de la Santé IDF)

La psychiatrie n'est pas un milieu comme les autres (Environnement professionnel spécifique, au contact permanent de l'irrationnel, de l'illogique et de l'imprévisible). Mais cette évidence ne colle pas avec la réalité virtuelle qu'ose présenter la direction de l'hôpital quand elle parle de l'organisation des services.



dimanche 23 mars 2014

« Witch Doctor », dans la grande tradition des docteurs mabouls

Le Monde Blogs , par Jean-Marc Lainé

Vous aimez les récits fantastiques ? Vous appréciez les fictions médicales depuis que les premières saisons d’Urgences ont bercé votre enfance ? Vous êtes fans des monstres tentaculaires et vermiformes à la Lovecraft ? Et vous n’avez pas encore dévoré les deux tomes de Witch Doctor ? Il est temps de réparer cet oubli !
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Witch Doctor, de Brandon Seifert et Lukas Ketner. Delcourt.
Dans l’industrie de la bande dessinée américaine règnent deux gros éditeurs. D’un côté du ring se tient DC Comics, qui publie les aventures de Batman, Superman, Green Lantern ou la Ligue de Justice, et de l’autre se dresse Marvel, qui édite celles de Spider-Man, des Quatre Fantastiques ou des X-Men. Mais tels les deux arbres dissimulant la proverbiale forêt, ils ne doivent pas faire oublier l’escadron d’éditeurs plus modestes produisant tous les mois des séries à l’identité marquée faisant la richesse et la diversité de cette production.
L’un de ces éditeurs que la tradition, depuis le début des années 1980, désigne sous le terme générique d'« indépendant », s’appelle Image Comics. Fondée en 1992, la société a récemment enregistré un succès planétaire, Walking Dead, décliné en romans et en série télévisée. Poule aux œufs d’or de l’éditeur, cette série (traduite chez Delcourt) génère de tels profits qu’une partie est réinvestie dans la réalisation de nouvelles séries. Robert Kirkman, co-créateur et scénariste de Walking Dead, chapeaute une partie de ces créations sous le label Skybound, dédié au lancement de nouvelles productions et de nouveaux auteurs.
C’est le cas de Witch Doctor du scénariste Brandon Seifert et du dessinateur Lukas Ketner. Médecin généraliste néanmoins spécialisé dans les infections d’origine occulte, le docteur Vincent Morrow, entouré de ses assistants Eric Geist (totalement humain) et Penny l’Affreuse (totalement inhumaine), se charge d’exorciser les démons et de lutter contre les possessions à coup de sorts magiques et de scalpels. La variété des situations, drôles, enlevées, touchantes, témoigne d’une grande inventivité, les rapports entre le praticien et ses deux apprentis débordent d’humour, et les monstres sont repoussants à souhait.

samedi 22 mars 2014

Internet : outil de collaboration ou de domination ?

Le Monde Blogs 


Il y a un an, l'enquête Ipsos "France 2013 : les nouvelles fractures" faisait l'effet d'un coup de tonnerre médiatique, soulignant combien la crise avait exacerbé la tentation du repli national et le rejet du politique. Le Monde titrait sur"les crispations alarmantes de la société française""Le poujadisme s'est enraciné en France", estimait-elle. L'idéologie anti-autoritaire des années 60-70 a reflué de manière spectaculaire. 87 % des Français estiment qu'on a besoin d'un vrai chef en France pour remettre de l'ordre et 86 % (toute tendance politique confondue) estiment que l'autorité est une valeur qui est souvent trop critiquée. Et la nouvelle édition que vient de relayer Ipsos ne fait que renforcer cette tendance. Certes, ce sondage, encore plus que d'autres, est à prendre avec beaucoup de précautions, tant il semble chercher à faire démonstration. Le politologue Alain Garigou de l'Observatoire des sondages et le sociologue Renaud Cornand sur le blog de Laurent Mucchielli en ont brillamment montré toutes les limites, insistant sur son manque de représentation, sur son côté manipulatoire et sa capacité à amalgamer des différences, ou encore sur la polysémie du terme même d'autorité, qui ne recouvre certainement pas la même réalité pour les sympathisants du Front national et ceux du Front de gauche. Si la défiance s'exacerbe, encore faut-il rappeler que la collaboration, la réinvention du lien social, elle, est une réponse, pragmatique, des Français à ce repli sur soi, estimait la directrice de TNS Sofres dans le Monde.fr en réponse au sondage de son concurrent.

Notre besoin d'autorité est impossible à rassasier

Reste que si cette représentation résonne en nous, c'est malgré tout parce qu'elle donne l'impression de traduire un sentiment, un malaise que nous ressentons chaque jour un peu plus face aux crispations de la société. Ce sentiment que ce besoin d'autorité est partout plus présent : en politique bien sûr, où le système favorise la primauté des représentants au détriment de toute forme de démocratie participative, mais plus encore dans le monde du travail, où le système favorise toujours plus une organisation pyramidale fondée sur le contrôle.

vendredi 21 mars 2014

CES PHOTOS QUI NOUS PARLENT

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Christine Ulivucci, Ces photos qui nous parlent. Une relecture de la mémoire familiale
Paris: Payot Essais
Avril 2014
Présentation de l'éditeur
Pourquoi prend-on des photos ? Comment les conserve-t-on ? Pourquoi sont-elles très présentes dans certaines familles et absentes dans d'autres ? Pourquoi éprouvons-nous le besoin de nous recontacter au passé par leur biais ? Que nous disent-elles de nous, de notre vie, de notre inconscient familial ? Ce très bel essai est la suite de Psychogénéalogie des lieux de vie.
Christine Ulivucci est psychothérapeute. De formation universitaire, elle exerce la psychothérapie analytique et transgénérationnelle à Paris. Elle a fondé en 2004 l’Atelier de recherche sur le transgénérationnel. Son approche l’amène par ailleurs à utiliser la photographie comme outil thérapeutique et à travailler sur les processus de création artistique.

Le 12 mai, Journée Internationale de l'Infirmière


Le 12 mai, faites-vous reconnaître !

 par 


Alors que la Journée Internationale de l'Infirmière approche à grand pas - c'est en effet le 12 mai prochain - Infirmiers.com réitère son appel à contributions auprès de sa communauté... Faites témoigner vos collègues professionnels de santé, vos patients et leur famille, vos amis, vos proches, votre boulanger, votre fleuriste, votre banquier... bref tous ceux qui côtoient, ont côtoyé ou côtoieront de près ou de loin, un(e) infirmier(e)... L'opération de valorisation s'appelle "l'infirmier(e) vu(e) par les autres"...

Trois « enfants sauvages » découverts dans un logement à La Courneuve

LE MONDE | 
Par 
Comment quatre enfants déclarés à l'état civil ont-ils pu passer à travers les mailles du filet de toutes les institutions pendant plusieurs années ? C'est la principale question qui se pose depuis que RTL a révélé, jeudi 20 mars, le cas d'une fratrie qui vivait recluse, dans une barre HLM de la cité des 4 000, à La Courneuve (Seine-Saint-Denis).
Il a fallu la naissance du quatrième enfant d'un couple d'origine indienne pour que la police découvre ce qui se cachait depuis 2008 au 7e étage de la tour du Mail de Fontenay. Trois enfants, des garçons de 2, 5 et 6 ans, privés de soins, d'école et de tout suivi médical depuis leur naissance, partageaient dans le dénuement le plus complet une pièce d'un appartement de 85 m2.
Selon une source judiciaire, aucun signe de la présence d'enfant en bas âge dans l'appartement, à l'exception d'un lit pliant de bébé. Aucun jouet. La baignoire ne semble pas avoir servi depuis des mois. Pendant plus de cinq ans, aucun des occupants des 301 logements de l'immeuble n'avait jamais vu les deux aînés.

Ecrire « SMS » ne nuit pas à l’orthographe

Le Monde Blogs 19 mars 2014
La « novlangue SMS » va-t-elle envahir les bancs de l’école ? Va-t-on trouver, dans les copies des élèves, des « tu fé koi ? » (tu fais quoi ?) ou des « g croier que tu devè venir » (je croyais que tu devais venir) ? L’écriture SMS ne fait pas seulement hurler les défenseurs de la langue française. Elle inquiète aussi de nombreux parents et enseignants, qui y voient une menace sur le niveau d’orthographe des adolescents.
Pour la première fois en France, une étude, publiée mardi 18 mars par le Centre national de la recherche scientifique (CNRS), a de quoi les rassurer. Non, le langage SMS ne nuit pas à l’orthographe traditionnelle. Ce n’est pas parce qu’un élève écrit « tu fé » dans un SMS qu’il ne sait pas que le verbe « faire », conjugué à la deuxième personne du singulier, s’écrit « fais ». Il existe un registre de l’écrit traditionnel et un registre de l’écrit SMS ; les deux sont indépendants l’un de l’autre.
Les travaux en question, réalisés par des chercheurs du Centre de recherche sur la cognition et l’apprentissage (Cerca, université de Poitiers), ont consisté à observer pendant un an des collégiens de 6e et de 5e qui ne possédaient pas de téléphones portables avant le début de l’étude. « Nous les avons équipés d’un téléphone mobile en échange de quoi ils se sont engagés à nous livrer leurs SMS tous les mois »,explique Josie Bernicot, de l’équipe du Cerca. « Au total, près de 5 000 SMS ont été recueillis auprès de 19 jeunes âgés de 11 et 12 ans. »

La jouissance (2/4): la jouissance sur le divan

Emission à venir, le 25.03.2014 à 10h
Par Adèle Van Reeth
Réalisation : Mydia Portis-Guérin
Lectures : Anne Brissier 
Bibliographie complémentaire:
- Jacques Lacan, Le SéminaireLivre XX: Encore 1972-1973, Texte établi par Jacques-Alain Miller (Seuil, 1975)
- Jacques Lacan, Ecrits II ( Seuil, 1971)
Invité(s) :
Jean-Luc Nancy, philosophe
Elisabeth Roudinesco, directrice de recherche au CNRS

Grève nationale et manifestation des psychologues

L'Intersyndicale qui réunit différents syndicats s'est prononcée pour la grève du 10 avril 2014. La CGT-UFMICT nous a fait parvenir le premier appel à la grève nationale. (à voir sur le site du syndicat ...)


10/04/2014 Grève nationale et manifestation des psychologues











APPEL DE LA CGT & CGT-UFMICT : GRÈVE NATIONALE, MANIFESTATION NATIONALE : PLACE DE LA RÉPUBLIQUE À PARIS À 13H30, SUIVIE DE L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE À LA BOURSE DU TRAVAIL : 3 RUE DU CHÂTEAU D’EAU, PARIS JUSQU’À 19H

Pour une revalorisation de nos salaires et la suppression de la précarité dans la fonction publique hospitalière, exigeons l’ouverture de négociations. 

Pour la reconnaissance officielle de l’activité et de la place des psychologues dans la fonction publique hospitalière en lien avec leur niveau de formation et de responsabilité. 

La structuration des psychologues en cours d’expérimentation doit déboucher sur un texte règlementaire. 


Pour la prise en compte de la dimension psychologique clairement inscrite dans la réécriture de la loi hospitalière. 


Pour la gratification des stages de master des étudiants en psychologie luttant contre l’inscription dans la précarité dès l’université. 


Cet appel fait suite aux mobilisations des 26 septembre 2013 et du 28 mai 2013. 

Ces mobilisations s’inscrivent dans le prolongement de la mobilisation du 28 janvier 2011 et l’ouverture de négociations avec la DGOS qui ont permis l'abrogation de la circulaire du 4 mai 2010, la réécriture du décret sur le titre de psychothérapeute, l’augmentation du quota promu/promouvable et l’expérimentation de la structuration des psychologues actuellement en cours. 


Tous en grève le 10 avril !!! 


Fédération de la santé et de l’Action Sociale 

Case 538 93515 MONTREUIL Cedex  
Tél. : 01 55 82 87 49 / 57 

BOURSE NATIONALE DU TRAVAIL 263, rue de Paris, MONTREUIL Métro : Porte de Montreuil 

Réflexions bloguesques sur la maltraitance médicale et son assimilation à un viol





Paris, le samedi 15 mars 2014 – Un seul tweet s’impose et tous se sentent maltraités ! Le vers de Lamartine repris à l’envi pourrait être ainsi parodié pour évoquer l’effervescence connue sur Twitter fin février après la publication par le docteur Marc Zafran, alias Martin Winckler du message suivant. « La maltraitance médicale est un viol ». Immédiatement, les réponses ont afflué pour s’offusquer de l’outrance de ce message. Pour apaiser les esprits, le médecin et talentueux écrivain, auteur de « La maladie de Sachs » a rectifié : « La maltraitance médicale est (vécue) comme un viol ». Cependant, comme il l’explique dans un long post publié sur son blog « le problème reste entier ».

jeudi 20 mars 2014

L'enfant préféré, un tabou familial

Le Monde.fr |  |Propos recueillis par 
Un père et ses enfants à la rentrée de septembre 2013 à Lyon (image d'illustration).
Cela arrive aux parents plus souvent qu'ils n'osent se l'avouer. Avoir, parmi leurs enfants, un préféré. Catherine Sellenet, professeur en sciences de l'éducation à l'université de Nantes, psychologue clinicienne et sociologue, a publié avec Claudine Paque, qui enseigne la communication dans la même université, un livre sur ce sujet encore tabou. L'enfant préféré, chance ou fardeau ? (Belin) ouvre une lucarne passionnante sur la vie des familles, parfois moins harmonieuse que dans les livres pour enfants.

L’excision, ça se répare, leçon pour toutes les femmes victimes de violences

22/03/2014

Paris, le samedi 22 mars 2014 – Pas une journée mondiale dédiée à la lutte contre l’excision ne se déroule sans que soit rappelé l’apport majeur de l’action du docteur Pierre Foldes en la matière. Ce praticien français a en effet mis au point il y a près de trente ans une technique de chirurgie réparatrice qui a offert à des milliers de femmes dans le monde la possibilité de recouvrer un clitoris et au-delà de se réapproprier leur corps et leur sexualité. Evoquant ici avec Frédérique Martz, responsable d’un groupe de parole dédiée à l’excision au sein de l’Institut en santé Génésique de Saint Germain en Laye, sa découverte des femmes excisées en Haute-Volta et la prise en charge qu’il a fortement contribué à mettre en place, le docteur Pierre Foldes révèle que son soutien sans faille à ces victimes a nourri en lui le désir de venir en aide à toutes les femmes martyrisées. C’est le message qu’il entend délivrer ici avec force, insistant sur les leçons universelles tirées de la prise en charge des victimes d’excision.
Par le Docteur Pierre Foldes et Frédérique Martz

mercredi 19 mars 2014

Mouvement de grogne au CHU d'Amiens

PUBLIÉ LE