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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

samedi 31 mars 2012


Femmes battues : réquisitoire contre l'indifférence aux assises du Nord

C'est une sale affaire de violence et de misère. Une de celles auxquelles on rechigne à s'intéresser parce que tout cela semble trop loin, trop moche et qu'on en a bien assez comme ça. C'est ce que l'on pensait, au début. Comme sans doute les six jurés - quatre femmes, deux hommes - tirés au sort devant la cour d'assises du Nord pour juger Alexandra Guillemin, 32 ans, qui comparaissait pour le meurtre de son mari, Marcelino.
Un soir de juin 2009, dans la cuisine de leur appartement à Douai, cette mère de quatre enfants a dit à son mari qu'elle voulait le quitter. Il a explosé de fureur, a cherché à l'étrangler, elle a saisi un couteau de cuisine. La plaie dans le cou mesurait 13,5 cm de profondeur. Il est mort sur le coup,"dans une mare de sang", dit le procès-verbal des policiers. Voilà pour les faits.
Le procès s'est ouvert mercredi 21 mars. Alexandra Guillemin comparaissait libre après dix-sept mois de détention provisoire. Elle s'est assise dans le prétoire, le visage légèrement incliné, ses longs cheveux sombres noués sur la nuque, les yeux baissés, les mains posées sur les genoux et elle n'a plus vraiment bougé. Dehors, c'était le printemps, le ciel était bleu tendre. Le soleil inondait les murs clairs de la salle d'audience. C'est là, dans cette lumière si blanche, si crue, qu'une cour et des jurés ont plongé dans la nuit d'une femme.
Alexandra avait 17 ans, elle était en première, au lycée, quand elle a rencontré Marcelino, un Gitan sédentarisé, de quatorze ans son aîné. Elle est tombée amoureuse, a claqué la porte de chez sa mère qui ne l'aimait guère et rompu avec son père qui était en colère. Quelques mois plus tard, elle s'est mariée, le premier des quatre enfants est né et Alexandra Guillemin a renoncé à passer son bac. Le reste est un long calvaire. Une épouse que l'on viole, frappe, insulte et humilie. Que l'on menace lorsqu'elle murmure des confidences à sa sœur au téléphone ou cherche à voir son père. Que l'on épie quand elle tente de se confier à l'assistante sociale. Que l'on écrase et engloutit. Au XXIe siècle, dans une ville française, une ombre dans une caverne.
Pendant trois jours, un homme ne l'a pas quittée des yeux. Luc Frémiot est avocat général. Cela fait plus de dix ans qu'il se bat contre les violences conjugales. Qu'il essaie de secouer les consciences. Qu'il tonne à l'audience, bat les estrades, s'invite dans les colloques. Qu'il donne des instructions écrites aux policiers pour transmettre systématiquement au parquet les "mains courantes" déposées par les femmes, afin de ne paslaisser échapper la moindre chance de briser le silence, d'endiguer la violence dès le premier coup porté. Pour qu'il ne soit pas suivi d'un deuxième, puis d'un troisième, qui fait plus mal, détruit plus profond.
Il l'a regardée, Alexandra Guillemin, lorsqu'à la barre elle triturait son mouchoir, en répondant d'une voix faible aux questions de la présidente,Catherine Schneider. Lorsque des larmes roulaient sur son visage à l'évocation par les voisins, par les rares amis, par les dépositions de ses enfants, de ce qu'avait été sa vie. Lorsqu'elle chassait de la main les images qui l'assaillaient, honteuse de devoir expliquer ce que son corps avait subi et qu'elle avait toujours tu. Luc Frémiot observait tout, aspirait tout. Il a dévisagé aussi ces femmes assises dans le public, dont soudain s'échappait un cri, presque un ordre : "Parle, Alexandra ! Parle !" Il a crucifié du regard cet officier de police judiciaire concédant un "dysfonctionnement"quand on lui a demandé d'expliquer comment et pourquoi son service n'avait pas jugé nécessaire de donner suite à la plainte que voulait déposer Alexandra Guillemin contre son mari. Elle avait l'œil tuméfié, on lui a conseillé une main courante et on l'a renvoyée chez elle parce que "ça ne saignait pas".
Vendredi 23 mars, l'avocat général s'est levé. Ou, plus justement dit, il s'est jeté. Les notes sur le carnet ne disent ni la voix qui enfle et se brise, ni les silences, le souffle qui emporte, les mains tendues qui escortent les paroles jusqu'aux visages concentrés des jurés, le regard suspendu de l'accusée.
"Alexandra Guillemin, nous avions rendez-vous. C'est un rendez-vous inexorable, qui guette toutes les victimes de violences conjugales. Ce procès vous dépasse parce que derrière vous, il y a toutes ces femmes qui vivent la même chose que vous. Qui guettent les ombres de la nuit, le bruit des pas qui leur fait comprendre que c'est l'heure où le danger rentre à la maison. Les enfants qui filent dans la chambre et la mère qui va dans la cuisine, qui fait comme si tout était normal et qui sait que tout à l'heure, la violence explosera.
Elles sont toutes sœurs, ces femmes que personne ne regarde, que personne n'écoute. Parce que, comme on l'a entendu tout au long de cette audience, lorsque la porte est fermée, on ne sait pas ce qui se passe derrière. Mais la vraie question, c'est de savoir si l'on a envie de savoir ce qui se passe. Si l'on a envie d'écouter le bruit des meubles que l'on renverse, des coups qui font mal, des claques qui sonnent et des enfants qui pleurent.
Ici, dans les cours d'assises, on connaît bien les auteurs des violences conjugales. De leurs victimes, on n'a le plus souvent qu'une image, celle d'un corps de femme sur une table d'autopsie. Aujourd'hui, dans cette affaire, nous sommes au pied du mur, nous allons devoir décider.
Mon devoir est de rappeler que l'on n'a pas le droit de tuer. Mais je ne peux pas parler de ce geste homicide sans évoquer ces mots des enfants : 'Papa est mort, on ne sera plus frappés'. 'Papa, il était méchant'. 'Avec nous, il se comportait mal, mais c'était rien comparé à ce qu'il faisait à maman'. On n'a pas le droit de tuer, mais on n'a pas le droit de violer non plus. D'emprisonner une femme et des enfants dans un caveau de souffrances et de douleur.
Je sais la question que vous vous posez. 'Mais pourquoi Alexandra Guillemin n'est-elle pas partie avec ses enfants sous le bras ?' Cette question est celle d'hommes et de femmes de l'extérieur, qui regardent une situation qu'ils ne comprennent pas et qui se disent: 'Mais moi, je serais parti !' En êtes-vous si sûr ? Ce que vivent ces femmes, ce qu'a vécu Alexandra Guillemin, c'est la terreur, l'angoisse, le pouvoir de quelqu'un qui vous coupe le souffle, vous enlève tout courage. C'est sortir faire les courses pendant cinq minutes, parce que celui qui vous envoie a calculé exactement le temps qu'il vous faut pour aller lui acheter ses bouteilles de bière. Et c'est à cette femme-là que l'on voudrait demander pourquoi elle est restée ? Mais c'est la guerre que vous avez vécue, madame, la guerre dans votre corps, dans votre cœur. Et vous, les jurés, vous ne pouvez pas la juger sans savoir les blessures béantes qu'elle a en elle. C'est cela être juge, c'est être capable de se mettre à la place des autres. Alexandra Guillemin, il suffit de l'écouter, de la regarder. De voir son visage ravagé. Mais un visage qui change dès qu'elle parle de ses enfants. On a beaucoup dit qu'elle était 'passive'. Mais c'est une combattante, cette femme ! Ses enfants, elle leur a tenu la tête hors de l'eau, hors du gouffre. Il n'y a pas beaucoup d'amour dans ce dossier, mais il y a le sien pour ses enfants, et ça suffit à tout transfigurer. Sephora, Josué, Saraï, Siméon ont 13, 11, 8 et 6 ans aujourd'hui, ils vous aiment, ils seront votre revanche.
Nous, la question que nous devons nous poser, c'est : 'De quoi êtes-vous responsable, Alexandra Guillemin ?' Quelle serait la crédibilité, la légitimité de l'avocat de la société qui viendrait vous demander la condamnation d'une accusée, s'il oubliait que la société n'a pas su la protéger ? Alors, je vais parler de légitime défense. Est-ce qu'au moment des faits, Alexandra Guillemin a pu penser qu'elle était en danger de mort ? Est-ce qu'en fonction de tout ce qu'elle a vécu, subi, elle a pu imaginer que ce soir-là, Marcelino allait la tuer ? Mais bien sûr ! Cela fait des années que ça dure. Alexandra a toujours été seule. Aujourd'hui, je ne veux pas la laisser seule. C'est l'avocat de la société qui vous le dit : vous n'avez rien à faire dans une cour d'assises, madame. Acquittez-la !"
Vendredi 23 mars, six jurés - responsable de paie, retraitée, techniciens, ingénieur, assistante d'achat - et trois magistrats professionnels l'ont écouté. Et d'une sale affaire de violence et de misère, si loin, si moche, ils ont fait un grand moment de justice, si proche.


"On a notre place", estime Yves, bipolaire et "pair-aidant" psychiatrique

Yves Bancelin est l'un des 30 médiateurs psychiatriques recrutés en janvier. Atteint de troubles bipolaires, il raconte que "le contact avec les malades vient beaucoup plus vite", du fait de son passé qu'il va "enfin pouvoir transformer en quelque chose de positif".
"Franchement on a notre place", résume ce jeune homme avenant de 29 ans, attablé à un café. "Les usagers abordent plus rapidement des sujets importants de leur vie avec nous, on sent qu'ils se livrent plus".
La maladie d'Yves Bancelin a été diagnostiquée à l'âge de 19 ans lors d'une cure de désintoxication. "Viré du bahut après avoir explosé une voiture dans le mur", il est hospitalisé pendant un mois, passe le bac et "vadrouille pas mal" après avoir grandi en Auvergne.
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D'anciens malades en renfort en psychiatrie: un programme qui fait débat

Embaucher d'anciens malades pour accompagner les usagers au sein des équipes de santé mentale: l'idée pouvait paraître séduisante, mais elle a soulevé un tollé chez les syndicats qui réclament l'arrêt de l'expérimentation.
Ce programme "Médiateurs de santé/pairs", inspiré de projets mis en oeuvre au Québec, en Ecosse, aux Etats-Unis et en Angleterre, a été lancé en janvier dans trois régions: Ile-de-France, Provence-Alpes-Côte d'Azur et Nord/Pas-de-Calais.
Conduit par le centre collaborateur de l'Organisation mondiale de la santé (CCOMS) de Lille, il consiste à former 30 personnes disposant "d'un savoir issu de leur expérience personnelle" des troubles psychiques, et à les intégrer en parallèle dans des équipes soignantes pour une durée de deux ans.
Les médiateurs "sont rémunérés sur la base d'un temps plein en tant qu'adjoints administratifs 2e classe - 6e échelon, soit 1.272,73 euros nets par mois", selon la note de synthèse du CCOMS.
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Il était une fois... Zelig, de Woody Allen

Par  (Studio Ciné Live), publié le 30/03/2012 à 14:40
  • Il était une fois... Zelig, de Woody AllenImprimer
Woody Allen aux côtés de Calvin Cooldige et Herbert Hoover pour Zelig
Prod DB © Orion - Warner Bros / DR

Avec ce faux documentaire sur un homme caméléon capable de toutes les transformations, Woody Allen signe l'un de ses films les plus personnels. Où il sera question de Moby Dick, de Mia Farrow, de jazz, d'Hitler et de... psychanalyse. 
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Avec « Synchronicity », Carolyn Carlson met en mouvement ces petits riens qui font la vie

24.03.2012
 Entre l'écran et les danseurs, Carolyn Carlson présente un «entre-deux», sorte d'inconscient collectif.Entre l'écran et les danseurs, Carolyn Carlson présente un «entre-deux», sorte d'inconscient collectif.

|  DANSE |

Dans sa nouvelle création « Synchronicity » actuellement en gestation ...
- et qui sera présentée au Colisée du 4 au 6 avril -, Carolyn Carlson parle de la vie. « Synchronicity, ce n'est pas la synchronisation des mouvements », mais celle de petits événements qui, parce qu'ils coïncident avec un contexte particulier, prennent un sens plus fort. La « synchronicité », concept emprunté par la chorégraphe au psychiatre Carl Jung, ce sont aussi des rencontres. Et d'abord celle de Carolyn Carlson avec ses neuf danseurs. « Dans notre archétype, nous avons tous une mémoire. » Les seize séquences qui composent Synchronicity ont été pensées à dix et donnent à cette notion psychanalytique une dimension universelle.
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jeudi 29 mars 2012


[Échos de campagne]Les médecins à contre-courant plébiscitent Nicolas Sarkozy

05.03.12 - 15:07 - HOSPIMEDIA 
En cette période de campagne électorale, la rédaction d'Hospimedia a sélectionné quelques événements marquants, petites phrases ou insolites survenus ces derniers jours. Au menu, le chef de l'État massivement soutenu par les médecins mais qui s'emmêle les pinceaux sur le CHU de La Réunion, François Hollande qui se positionne sur les droits des patients et Nora Berra écartée par l'UMP.
[Sondage] Selon une enquête IFOP publiée dans le Quotidien du médecin, le corps médical se démarque du reste de l'opinion en plaçant en tête Nicolas Sarkozy au 1er comme au 2e tour de la présidentielle. Avec 36% au 1er tour, le chef de l'État perd toutefois 12 points depuis 2007. Derrière, François Hollande obtient 26% (contre 16% pour Ségolène Royale en 2007) et François Bayrou 19% (-10 points). Au 2e tour, le candidat UMP décroche 58% contre 42% pour son opposant socialiste.
Le sondage publié ce 5 mars par le Quotidien du médecin
[Fait marquant] Dix ans de la loi du 4 mars 2002 obligent, les droits des patients s'invitent dans la campagne. Dénonçant 'l"échec cuisant" de l'année des patients (2011), François Hollande entend indemniser sur fonds publics les représentants des associations et reconnaître le droit aux actions collectives en justice. Pour sa part, le ministère de la Santé plaide pour la création d'un portail Internet unique d’information en santé "GPS Santé".
La réaction de François Hollande
Le communiqué ministériel
[Citation] À la Réunion, "on peut créer une grande faculté de médecine (...). J’aurais l’occasion, au mois d’avril, de faire des propositions sur le sujet". Une intention louable que cette annonce de Nicolas Sarkozy le 27 février sur RTL si cette Unité de formation et de recherche (UFR) Santé n'existait pas déjà depuis le 6 mai 2010 (délibération du CA de l'université actant cette création) et le CHU n'était pas né le 29 février dernier. Un "effet de manche", ironise le Journal de l'Île.
Le commentaire du Journal de l'Île
À lire le nouveau CHU de la Réunion, ce 5 mars, sur Hospimedia
[Initiative] Cette semaine, c'est au tour des sites d'information Huffingtonpost et Rue89 de compiler deux-trois idées fortes des programmes politiques des présidentiables, notamment dans leur volet santé.
Le comparatif du Huffingtonpost
Le check-up santé de Rue89
[Dans la presse] "Une faute politique, éthique et morale". À lire la réaction de Nora Berra, il n'est pas sûr que le refus par l'UMP d'investir la secrétaire d'État à la Santé pour les législatives dans la 4e circonscription de Lyon signe le clap de fin de ce feuilleton électoral. Pour l'heure, Nora Berra ne précise pas si elle entend se présenter dans la circonscription qui lui a été attitrée, la 3e.
L'article diffusé sur Nouvelobs.com
[Santé publique] Dans une tribune diffusée sur le Huffingtonpost, Emmanuel Hirsch, directeur de l'espace éthique de l'AP-HP, déplore qu'en ces temps électoraux les projets politiques ne prennent nullement la mesure des risques sanitaires mais détournent les enjeux de santé publique par de grandes controverses (euthanasie, recherche sur les cellules souches embryonnaires...). Selon lui, il est pourtant "évident" que "la gestion d'une crise sanitaire constitue un modèle transposable dans toute situation de crise".
La tribune d'Emmanuel Hirsch
T.Q.

mardi 27 mars 2012


L’hôpital Sainte-Anne s’adapte à la psychiatrie du XXIe siècle


Philippe Baverel | Publié le 15.03.2012

Nora Berra, secrétaire d’Etat à la , a inauguré hier après-midi la nouvelle aile de l’hôpital Sainte-Anne (100, rue Sainte-Anne, dans le XIVe), que le personnel appelle le Papillon en raison de sa forme. 10 000 m2 dotés de 112 lits, dans lesquels les premiers patients arriveront à la mi-avril. Coût des travaux, qui ont duré quatre ans : 46 M€. 
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dimanche 25 mars 2012


La «bible» de la psychiatrie biaisée ?


(Québec) Le grand méchant loup pharmaceutique serait-il entré dans la «psycho-bergerie»? C'est en tout cas ce que laissent entendre deux spécialistes de l'éthique médicale qui ont trouvé des «conflits d'intérêts financiers» chez les deux tiers des panélistes du DSM-5 - la «bible» de la psychiatrie, qui définit toutes les maladies mentales. La publication fait tiquer plusieurs chercheurs qui, s'ils admettent volontiers que le questionnement est légitime, qualifient l'exercice de «chasse aux sorcières».

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Guy Baillon

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Pourquoi la Haute autorité de la Santé se discrédite


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Autisme, la contre-attaque des psychiatres
Le rapport de la Haute Autorité de santé sur l’autisme suscite de nombreuses critiques dans le monde de la psychiatrie.
De nombreux professionnels affirment qu’ils sont prêts à évaluer leurs pratiques, mettant en avant un travail de recherche lancé en 2008 avec l’Inserm sur 82 enfants atteints.
Avec cet article
Il fallait s’y attendre:  le rapport de la Haute Autorité de santé (HAS) sur l’autisme suscite de vives réactions chez les psychiatres. Ce travail concluait en effet que les approches psychanalytiques n’ont pas fait la preuve de leur pertinence pour traiter l’autisme ou les troubles envahissants du développement (TED).
 «La Haute Autorité est tombée bien bas»,  estime le Collectif des 39, estimant que ce rapport constitue une «véritable déclaration de guerre»  contre la psychiatrie relationnelle.
Ce collectif de psychiatres aura l’occasion de développer ses arguments vendredi 16 mars à Montreuil-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), lors d’une réunion qui devrait rassembler plus de 900 personnes.

«SE REMETTRE EN CAUSE»

Nombre de psychiatres ont été très agacés par la «provocation»  du professeur Jean-Luc Harousseau, le président du collège de la HAS, invitant les psychiatres à «se remettre en cause»  et à évaluer leurs prises en charge.
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Débat avec Le Monde diplomatique - Théâtre des Amandiers Nanterre

Psychiatrie, enjeux et défis

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Au centre Érasme, on veut tordre le cou aux idées reçues sur les soins psychiatriques

jeudi 15.03.2012
À l'occasion de la 23e édition de la Semaine nationale de l'information sur la santé mentale, le centre de soins Érasme, avenue Aristide-Briand, a organisé, mardi, un après-midi portes ouvertes. Outre la possibilité offerte de découvrir lieux et personnel, il était surtout question de mettre fin à certaines idées reçues : oui, il est aussi facile de pousser les portes d'un institut de soins psychiatriques que d'aller chez son médecin traitant !
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Caroline Eliacheff




Autisme : et maintenant...

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34ème Festival International de films de femmes
Rendez-vous pour la prochaine édition du 30 mars au 8 avril 2012

Concert d’ouverture 2012 // Brigitte Fontaine 
L’un n’empêche pas l’autre
Brigitte Fontaine assurera le concert inaugural du Festival avec le souffle et la folle fantaisie qu’on lui connaît.

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VIDÉO - Pr Evrard : besoin de compétition entre les prises en charge de l’autisme

12/03/2012


Président du groupe de pilotage des recommandations HAS/ANESM sur l’autisme et autres TED chez l’enfant et l’adolescent, le Pr Philippe Evrard met l’accent sur les retards criants du système sanitaire et médico-socialfrançais. Pour le neuropsychiatre, il faut désormais entraîner une compétition minimale entre les prises en charge de l’autisme pour que les familles et les personnes autistes ne soient plus dépendantes d’une seule méthode d’intervention.
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