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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

samedi 8 juillet 2017

L’activité physique n'est pas un facteur neuroprotecteur d’après l’Inserm




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BURGER/PHANIE

L’activité physique en tant que telle n’est pas associée à une diminution des risques de survenue de démences. C’est du moins ce que révèle une étude de l’Inserm dont les résultats ont été récemment publiés dans le BMJ.
Certains travaux ont suggéré que l’activité physique pouvait s’avérer un facteur neuroprotecteur qui permettait de retarder l’apparition de pathologies telles que la maladie d’Alzheimer. Afin de vérifier cette hypothèse, une équipe de chercheurs de l’Inserm en collaboration avec The University College London a mené une étude longitudinale qui incluait plus de 10 300 personnes ayant entre 35 et 55 ans au début des travaux. Les participants ont été suivis entre 1985 et 2012 soit près de 27 ans. Les scientifiques ont mesuré leur activité physique tous les 4 ans et leur ont fait passer de nombreux tests cognitifs.

Quimper. Hôpital psychiatrique : le personnel proteste




Malik Miktar  07/07/2007


Les salariés ont manifesté leur mécontentement sur le parking de l'hôpital psychiatrique de Quimper (Finistère).Les salariés ont manifesté leur mécontentement sur le parking de l'hôpital psychiatrique de Quimper (Finistère). | Malik Miktar

Vendredi, le personnel du pôle 5 de l’hôpital psychiatrique de Quimper (Finistère) s’est réuni sur le parking afin de protester contre la dégradation de ses conditions de travail.
Après avoir sollicité la direction de l’hôpital, l’agence régionale de la santé, mais aussi le conseil départemental qui n’ont pas siégé lors du dernier conseil de surveillance, le personnel de l’hôpital psychiatrique de Quimper (Finistère) n’a eu aucun retour sur une éventuelle amélioration de ses conditions de travail.

Préparer la transition entre pédopsychiatrie et psychiatrie adulte

07/07/2017


Selon les statistiques de l’OMS, les sujets de 10 à 24 ans représentent « un quart de la population mondiale », proportion historiquement la plus élevée pour cette tranche d’âge. Or vers 2020, rappelle le Dr Sabina Abidi, une psychiatre exerçant à l’Université d’Halifax (Nouvelle-Écosse, Canada)[1], la maladie mentale représentera « l’une des cinq causes principales de morbidité, de mortalité et d’invalidité chez les jeunes. » Dès à présent, « au moins 20 % » des jeunes Canadiens souffrent d’un « trouble psychiatrique affectant gravement leur trajectoire existentielle », notamment en termes d’une « association à des risques accrus » de certaines comorbidités (telles des addictions à des drogues) ou de conséquences psychosociales (comme des difficultés d’accès à un emploi ou/et à un domicile fixe, et des comportements délinquants).

Un malade mental exécuté aux Etats-Unis

07.07.2017

Un condamné à mort souffrant selon ses défenseurs de graves troubles psychiatriques a été exécuté jeudi aux Etats-Unis, malgré une mobilisation internationale en sa faveur. William Morva, un meurtrier à la double nationalité hongroise et américaine, a reçu une injection létale et a été déclaré décédé à 21h15 locales (01h15 GMT vendredi), ont annoncé les autorités pénitentiaires de l'Etat de Virginie. Terry McAuliffe, le gouverneur démocrate de cet Etat de l'est du pays, avait refusé quelques heures plus tôt d'accorder un sursis au prisonnier.

Un nouveau coup porté aux droits de l'enfant

 

Après vingt-trois ans d'existence, le Point rencontre de l’Association pour le couple et l’enfant de Paris a fermé suite à une réduction de subventions. Un lieu vital qui permettait de retisser des liens entre parents et enfants dans un territoire où un couple sur deux est séparé.


Un scanner IRM géant explore le cerveau humain

Le 07.07.2017


Pour ses 10 ans, le centre NeuroSpin de Saclay se dote de l’instrument le plus puissant au monde de recherche humaine avec son aimant de 11,7 teslas. Les chercheurs espèrent prouver l’existence d’un code neural, et ainsi mieux comprendre les pathologies neurologiques.

Lionel Quettier NeuroSpin
Lionel Quettier devant l'entrée du futur IRM 11,7 Teslas à NeuroSpin, au CEA.
© OLIVIER LASCAR
[...] Ce scanner IRM (imagerie par résonance magnétique) à 11,7 teslas (voir lexique en gris, à la fin de cet article) est la pièce maîtresse du projet franco-allemand Iseult (lire l'encadré p. 78), fruit d'une collaboration entre le CEA, Guerbet (fabricant d'agents de contraste pour l'imagerie), l'université de Fribourg (Allemagne) et le constructeur Siemens. "Grâce à lui, nous espérons décrypter le “code neural” du cerveau, par analogie avec le code génétique", s'enthousiasme Denis Le Bihan, fondateur et directeur de NeuroSpin qui, avec ce nouvel instrument de recherche, fête dignement ses 10 ans.

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vendredi 7 juillet 2017

Ava : l’app qui sous-titre les conversations pour les personnes sourdes arrive en France

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Nelly Lesage 06/07/2017

Ava pourrait peut-être contribuer à rompre l'isolement des personnes sourdes au cours d'une conversation orale : cette application mobile sous-titre les discussions d'un groupe en direct. Elle est désormais adaptée pour les utilisateurs français.
Une partie non négligeable des internautes et utilisateurs des nouvelles technologies est concernée par la question de l’accessibilité en cas de handicap. Une réalité que de plus en plus d’entreprises prennent en considération, en développant notamment des outils dédiés. Ainsi, en matière de traduction, on voyait récemment arriver sur le marché taiwanais une paire de gants capable de traduire la langue des signes en mots.

Les personnes sourdes et malentendantes résidant sur le sol hexagonal pourront désormais compter sur une application mobile pour les aider à sous-titrer en direct les conversations. Baptisée Ava, l’application a été lancée le 5 juillet 2017 en France. Annoncée lors d’une conférence de presse par Thibault Duchemin, PDG et co-fondateur de l’application, Ava ambitionne de dépasser le côté « gadget » de certains outils de reconnaissance vocale.

Vous entendez des voix ? Vous êtes moins seul(e) que vous ne le pensez…



Pratiquement un dixième de la population mondiale entendrait des voix. Une étude stipule qu’il s’agit d’hallucinations auditives à parfois dissocier d’une éventuelle pathologie mentale. La solution réside-t-elle uniquement dans les traitements classiques ?
Le fait d’entendre des voix peut toucher n’importe qui, même des personnalités importantes, la plus célèbre étant Jeanne d’Arc (1412-1431). Citons également Amélie Nothomb, Zinedine Zidane ou encore Martin Luther King. Ces exemples de personnalités assujetties au phénomène attestent de son existence, mais des études scientifiques indiquent que celui-ci est d’une ampleur sous-estimée.

Publié par le magazine The Atlantic le 27 juin 2017, un article du journaliste Joseph Frankel traite de cette question. L’intéressé explique que dans les années 1970, n’importe quel patient déclarant entendre des voix était systématiquement catalogué comme schizophrène et hospitalisé en conséquence.

Autisme : lancement à l'Elysée d'une concertation de 6 mois pour « co-construire » le 4e plan

Coline Garré
| 06.07.2017



autisme Élysée
Crédit Photo : AFP

C'est en grande pompe sous les ors de la République et en présence de 4 ministres, la secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées Sophie Cluzel, la ministre de la Santé Agnès Buzyn, ses homologues à la Recherche Frédérique Vidal et à l'Éducation nationale Jean-Michel Blanquer, qu'a été lancée, ce 6 juillet, la concertation préalable au 4e plan autisme.
Cette concertation doit donner naissance dans 6 mois au 4e plan autisme. Entre juillet et décembre 2017, des réunions se tiendront dans toute la France, par souci d'être au plus près des territoires, autour de quatre objectifs : co-construction avec les associations d'usagers et leurs familles, mobilisation des territoires, prise en compte des parcours et accentuation de l'inclusion des personnes, et identification de leviers d'action priorisés et concrets.

Autisme : « Depuis ses 20 ans, on attend que je trouve une poubelle assez grande pour l’y jeter »

Alors qu’est lancé, jeudi, le 4e plan autisme, l’absence de structures d’accueil pour les adultes souffrant de ces troubles est critiquée par les associations.

LE MONDE  | Par 


Une personnes autiste réalise un collier de perles avec l'aide du personnel du centre médical « l'Envolée », à l'Isle d'Abeau (Isère), en 2012.

Une personne autiste réalise un collier de perles avec l'aide du personnel du centre médical 
« l'Envolée », à l'Isle d'Abeau (Isère), en 2012. JEAN-PHILIPPE KSIAZEK / AFP

Sur les routes du Morbihan, quand Marie est en voiture avec son fils, Yann-Vari, elle aime mettre un peu fort Arvorig FM, parce qu’il « y a de la musique », et qu’elle « aime entendre des émissions en breton ». Dans une autre vie, une avec « un peu plus de temps et d’énergie », cette Lorientaise de 63 ans aurait aimé le parler. Elle se contente de « le comprendre sans pouvoir échanger »« Un peu comme mon fils », lance-t-elle dans un petit rire cristallin.

Son « affreux », comme elle le surnomme affectueusement, a 27 ans, une carrure de rugbyman, et un autisme sévère diagnostiqué il y a vingt-et-un ans « grâce à la télé ». C’était après la diffusion du film Rain Man sur France 2 dans les années 1990. Un débat organisé par Jean-Luc Delarue avec des familles d’autistes. « Notre vie avec Yann-Vari ressemblait beaucoup à la leur », résume cette ancienne institutrice, devenue « mère au foyer à perpétuité ».

Là a commencé son « parcours du combattant ». Car chaque étape a été « une guerre de tous les instants » pour trouver l’accompagnement pour « faire grandir, faire progresser » ce petit garçon, troisième d’une fratrie de quatre.

L’enfance et l’adolescence avaient déjà « été difficiles, pour être polie »« Ce serait plus simple si tous les autistes étaient des petits génies du piano », plaisante-t-elle. Mais « depuis ses vingt ans, c’est simple, j’ai l’impression qu’on attend juste que je trouve une poubelle assez grande pour l’y jeter ».


Ces femmes autistes qui s’ignorent

Par Adeline Lacroix, Titulaire d’un master 1 de psychologie et elle-même diagnostiquée en 2014 autiste Asperger— 


Depuis peu la communauté scientifique s'empare de la spécificité de l'autisme chez les femmes. Car les différences entre filles et garçons sont nombreuses notamment dans la présentation clinique de leur condition. Pour une réelle avancée, un nécessaire dialogue s'impose entre chercheurs et personnes concernées.

Adeline Lacroix travaille sur une revue de la littérature scientifique concernant les spécificités des femmes autistes de haut niveau. Dans le cadre d’une reconversion professionnelle, elle s’oriente vers la neuropsychologie et les neurosciences. Associée aux travaux de Fabienne Cazalis, elle a participé à l’écriture de cet article.
Nous l’appellerons Sophie. Le portrait que nous allons dresser de cette jeune personne pourrait être celui de n’importe laquelle des femmes qui entrent, sans le savoir, dans le spectre autistique. Parce qu’elles sont intelligentes, parce qu’elles sont habituées à compenser des difficultés de communication dont elles n’ont pas forcément conscience, ces femmes passent à travers les mailles du filet encore trop lâche du dispositif national de diagnostic.
A l’occasion du lancement, le 6 juillet, de la concertation autour du 4ᵉ plan autisme, la question du sous-diagnostic chez les femmes mérite d’être posée : combien sont-elles à ignorer ainsi leur différence neurodéveloppementale ? Les études font état d’1 femme pour 9 hommes avec le diagnostic d’autisme dit « de haut niveau », c’est à dire sans déficience intellectuelle. Si l’on compare au ratio d’1 femme pour 4 hommes observé dans l’autisme dit « de bas niveau », où elles sont mieux repérées, on peut penser que beaucoup manquent à l’appel.

La santé et l’accès aux soins ne doivent plus être un luxe pour les femmes en situation de précarité

Haut Conseil à l'Egalité entre les femmes et les hommes

7 juillet 2017
Dans son rapport « Santé et accès aux soins : une urgence pour les femmes en situation de précarité » - remis ce jour à Marlène SCHIAPPA, Secrétaire d’Etat chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes - le Haut Conseil à l’Egalité s’est intéressé aux femmes en situation de précarité, ces femmes « hors radar », dont la santé est dégradée et l’accès aux soins entravé.

Les femmes représentent 64% des personnes qui reportent des soins ou y renoncent , soit près de 9,5 millions de femmes qui, chaque année :

Elle a connu le lynchage avant le Panthéon - E. Roudinesco sur Marianne

Pour accéder à l'article sur Marianne, cliquer ici ...

Simone Veil : choses moins vues








Paris, le samedi 8 juillet 2017 – D'innombrables hommages ont été rendus à Simone Veil depuis l’annonce de sa disparition la semaine dernière. La cérémonie organisée aux Invalides ce mercredi aura permis de constater combien l’émotion de ses proches est partagée par la nation toute entière. Les médecins blogueurs n’ont pas manqué aussi de participer à cet élan. Certains ont, comme les autres, rappelé les éléments les plus marquants de l’existence et de la carrière de Simone Veil. Le dermatologue auteur du blog Les billets d’humeur du dr a ainsi évoqué : « Vous nous avez permis une réponse non clandestine, consentie, réfléchie certes uniquement par la femme, à une grossesse non désirée ou inattendue, parfois malgré une contraception jugée maîtrisée». Le praticien rappelle également encore l’hostilité qu’elle a dû alors affronter.

Psychiatres : «Nous travaillons sous la terreur des trafiquants»

ALGERIE   07.07.17   

L’hôpital psychiatrique de Ouled Mansour est sous la menace d’une fermeture imminente du fait des menaces de mort dont fait l’objet l’équipe pluridisciplinaire, l’autisme des autorités locales et le silence suspect des services de sécurité face aux multiples plaintes déposées par la direction de l’établissement et restées sans suite.

Ce constat a été fait par le représentant de cet établissement psychiatrique. Cette semaine, une rencontre a été organisée en coopération avec la sûreté de la wilaya sous le thème «La lutte contre la toxicomanie». Constat confirmé, lors de notre déplacement hier, par Mohamed Abdelli, directeur de cet établissement hospitalier spécialisé en psychiatrie de Ouled Mansour, qui a déclaré : «Nous sommes confrontés à une double problématique, l’insécurité et l’isolement, par le fait que cet hôpital est implanté dans une commune rurale, à 12 km du chef-lieu de la wilaya, ce qui constitue une contrainte supplémentaire pour les spécialistes.»
Et d’ajouter : «Cette équipe pluridisciplinaire, composée de 8 psychiatres, 8 généralistes, 4 psychologues et 2 orthophonistes, assurant le fonctionnement de cet hôpital d’envergure régionale depuis son ouverture en février 2015, et pour lequel un effort colossal a été consenti, risque fort de disparaître si rien n’est entrepris en matière de sécurité.»

Les Cliniques Saint-Luc contre la réduction du financement de certains lits psychiatriques


07 juillet 2017
Les Cliniques universitaires Saint-Luc souhaitent que la ministre fédérale de la Santé Maggie De Block revienne sur sa décision de réduire de moitié le financement de lits psychiatriques dans les hôpitaux de jour. La mesure ne permettra pas de maintenir le niveau actuel d'emploi, s'inquiètent vendredi les responsables de Saint-Luc dans un communiqué.
Les Cliniques universitaires condamnent la réduction du financement des lits en hôpital de jour malgré une demande "criante" de places de pédopsychiatrie. Considérer qu'une occupation partielle ne justifie pas un financement complet est un mauvais calcul, souligne Renaud Mazy, administrateur-délégué de Saint-Luc. "Nous accueillons les enfants en détresse morale sept jours sur sept, jour et nuit. L'hôpital de jour pédopsychiatrique permet aux enfants de bénéficier d'un traitement continu, de jour en complément de la nuit en hospitalisation, en vue d'un retour dans leur cadre de vie en institution ou à domicile."

La famille comme seul rempart

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MAROC  06 juillet 2017
Murat Karaali

Des associations de familles se battent pour que la psychiatrie ne soit plus le parent pauvre du système de santé marocain. Trop souvent, les personnes vivant avec une maladie psychique se retrouvent à la charge de l’entourage qui est totalement désemparé et qui, parfois, se tourne vers la «tradithérapie».
«On n’a jamais accordé d’importance à la prise en charge des malades psychiques», soupire au téléphone le Dr Bouchaib Karoumi, psychiatre et pédopsychiatre à Casablanca, auteur de La schizophrénie au Maroc: «Ici, la santé mentale n’a jamais été une priorité.»
Et pourtant… Selon les chiffres du Ministère de la santé du royaume, un Marocain sur deux, âgé de 15 ans et plus, souffre ou a souffert d’un trouble mental. Cinq millions des sujets de Sa Majesté Mohammed VI présentent des symptômes de dépression. Plus d’un tiers des psychiatres pratiquent à Casablanca ou à Rabat, la capitale. Pour ce qui est des structures d’accueil, le royaume compte moins d’un lit pour 10 000 habitants. Le Ministère de la santé a indiqué, en 2014, vouloir créer trois hôpitaux psychiatriques régionaux d’ici à la fin 2016 afin de porter le nombre de lits à 3400. Mais ces trois hôpitaux, avec quatre unités de pédopsychiatrie, tardent à sortir de terre.

En psychiatrie : Silence ! On (en)ferme ! Débrayage contre l’austérité le 11 juillet !

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 5 juillet 2017

Au CH St Jean de Dieu, l’unité Erasme est en péril. Porteuse d’un projet de soin issu de la psychothérapie institutionnelle et d’une approche groupale, l’unité est dans le colimateur de la direction : ça coûte trop cher ! Les patients et le personnel sont directement touchés par cette coupe budgétaire et se mobilisent.
Au CH St Jean de Dieu, à l’unité Erasme, le 27 juin 2017, la cadre supérieure de santé accompagnée du médecin chef du pôle viennent nous annoncer, sous couvert de réduction budgétaire, la fermeture pure et simple de l’unité, dans un délai de deux ans maximum.
Mais que l’on se rassure ! Cela reste une hypothèse de travail, mais visiblement une piste qui est priorisée par la direction. Le but étant d’ « uniformiser » les moyens sur les pôles afin de conserver seulement deux unités d’entrée de 25 lits chacune. Ce qui signifie la suppression de 25 lits temps plein sur le G27. De plus, il est prévu une « mutualisation » des moyens entre le G25 et G26, ce qui supprimerait également 25 lits sur le G25.

Fort Boyard. Les malades psychiatriques portent plainte contre France 2

 



Ils n’apprécient pas du tout la nouvelle épreuve de Fort Boyard. Les parents d’enfants en situation de handicap psychique sont remontés contre France 2. La raison ? Une épreuve baptisée « L’Asile » jugée stigmatisante.
L’Union nationale de familles et amis de personnes malades et handicapés psychiques (Unafam) et un collectif de lutte contre la stigmatisation de la schizophrénie a ainsi porté plainte contre la chaîne publique, rapporte Le Parisien.
Enfermé dans une cellule capitonnée
L’épreuve a été diffusée pour la première fois le 24 juin. Le défi mettait en scène un candidat, en l’occurrence Kamel Le magicien, avec une camisole de force sur laquelle étaient accrochées des boules rouges et blanches. Enfermé dans une cellule capitonnée, il devait ensuite se démener pour décrocher les boules.