Toute bonne psychanalyse démarre dit-on par son rapport à la mère et Yrvin Yalom ne déroge pas à la règle puisqu'il raconte dans le premier chapitre les relations ambiguës qu'il avait avec sa propre mère, relations qui ne se sont pas interrompues à la mort de celle-ci. Cette introduction donne un éclairage bien particulier au reste de l'ouvrage, en mettant en résonance les propres difficultés du psychanalyste et celles de ses patientes.