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jeudi 23 février 2012

Pétition : En 2012, sauvons la vie privée !

Pour un véritable droit d’opposition à l’informatisation de nos données personnelles.
Pour signer la pétition rendez-vous en bas de la page.
Notre vie privée est en danger ! Dans tous les domaines de la vie socio-économique - éducation, santé, protection sociale, administrations locales et centrales, instances financières et policières, etc. -, chacun d’entre nous se retrouve dépossédé arbitrairement de ses propres données personnelles, pour devenir l’objet d’une surveillance insidieuse échappant à tout contrôle légal réel.

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Fichage informatique: une pétition contre Big Brother

"En 2012, sauvons la vie privée!" C'est sous cet appel commun que 27 organisation, partis et syndicats se sont retrouvés pour lancer ce mardi une pétition contre le "fichage informatique" et pour "un véritable droit d'opposition à l'informatisation de nos données personnelles".
"Chacun d'entre nous se retrouve dépossédé arbitrairement de ses propres données personnelles pour devenir l'objet d'une surveillance insidieuse échappant à tout contrôle légal réel", proclame le texte qui dénonce le "fichage tentaculaire" dans de nombreux secteurs: l'éducation (base élèves, fichier SCONET...), le travail social, les contribuables et consommateurs, les étrangers, les personnes sous main de justice (fichiers GIDE, FIJAIS...) ou celles suivies en psychiatrie (RIMP, HOPSY), mais aussi les fichiers STIC des infractions constatées, FNAEG des empreintes génétiques, PASP des atteintes à la sécurité publique... Sans compter les puces "RFID d'identification par radiofréquence", la géolocalisation par GPS, la vidéosurveillance, la biométrie, les titres de transport, la téléphonie mobile...
Des protections baffouées
La pétition met aussi en cause les mécanismes actuels de protection de la vie privée, jugés inefficaces. Si la "loi informatique et libertés"prévoit la "nécessité du consentement individuel" à tout fichage, elle lève cette obligation dès lors que le traitement informatique "répond à une obligation légale". Quant à la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil), "elle a été vidée de tout rôle décisionnel". "Les rares réserves qu'elle émet quand elle est consultée ne pèsent pas lourd face au déferlement des dispositions gouvernementales ou législatives", constate le texte.
Parmi les premières organisations signataires figurent ATTAC France, le Gisti, la Ligue des droits de l'homme, le NPA, l'OIP, le PCF, le Parti de gauche, le Syndicat de la magistrature, l'Union syndicale de la psychiatrie... Le nom de Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche à la présidentielle, apparaît également sur la pétition.
  • A consulter:
Le site de la pétition



La pétition « Sauvons la vie privée ! » s’oppose au fichage informatique

par AFP
Une pétition contre le « fichage informatique » a été lancée aujourd’hui par 27 organisations, partis et syndicats, pour réclamer« un véritable droit d’opposition à l’informatisation de nos données personnelles ».
« En 2012, sauvons la vie privée ! », proclame le texte qui énumère les domaines où, dit-il, « chacun d’entre nous se retrouve dépossédé arbitrairement de ses propres données personnelles pour devenir l’objet d’une surveillance insidieuse échappant à tout contrôle légal réel ».
Le « fichage tentaculaire » intéresse l’éducation (base élèves, fichier SCONET...), le travail social, les contribuables et consommateurs, les étrangers, les personnes sous main de justice (fichiers GIDE, FIJAIS...) ou celles suivies en psychiatrie (RIMP, HOPSY), indique le texte. Il mentionne aussi les fichiers STIC des infractions constatées, FNAEG des empreintes génétiques, PASP des atteintes à la sécurité publique, etc. Sans compter les puces RFID « d’identification par radiofréquence », la géolocalisation par GPS, la vidéosurveillance, la biométrie, les titres de transport, la téléphonie mobile...
La vie privée est pourtant protégée par la loi, notamment « la loi informatique et libertés », souligne le texte. Mais si elle prévoit « la nécessité du consentement individuel » à tout fichage, elle lève cette obligation dès lors que le traitement informatique « répond à une obligation légale ».
Quant à la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil), « elle a été vidée de tout rôle décisionnel. Les rares réserves qu’elle émet quand elle est consultée ne pèsent pas lourd face au déferlement des dispositions gouvernementales ou législatives », constate le texte.
Parmi les premières organisations signataires figurent ATTAC France, le Gisti, la Ligue des droits de l’homme, le NPA, l’OIP, le PCF, le Parti de gauche, le Syndicat de la magistrature, l’Union syndicale de la psychiatrie... Le nom de Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche à la présidentielle, apparaît également sur la pétition.
(AFP)




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